Sud-Ouest – 8 mars 2010
Philippe Most tourne la page. Celui qui fut, près de dix-huit ans, maire de Royan, citadelle UMP par excellence, claque la porte du parti présidentiel. Sans fâcherie mais sans regret. Il reprend sa liberté après des années d’une histoire d’amour – et de désamours – avec le RPR et ses héritiers. Il rejoint le Centre national des indépendants (CNI), mouvement dont il a été élu vice-président national. Il aura en charge l’élaboration, en liaison avec le président du CNI, Gilles Bourdouleix, du projet politique du parti.