« Si les parachutes dorés ne doivent pas être les arbres qui cachent la… jungle, ils n’en sont pas moins une insulte à notre intelligence. Comment supporter, plus longtemps, pareille hérésie ? S’insurge Annick du ROSCOÄT, Présidente du CNI.
« A l’aune de la crise financière mondiale, où chacun d’entre nous va devoir mettre la main au portefeuille pour porter secours à nos « nobles » institutions financières en péril, il serait insupportable de répercuter sur les économies des Français ou ce qu’il en reste, le moindre Euro pour payer un parachute doré à qui que ce soit ». Poursuit Annick du ROSCOÄT.
«Malgré la bonne volonté affichée par Laurence Parisot, nous pouvons nous poser la question de savoir si l’on peut faire confiance à une organisation dont les membres sont les premiers à bénéficier de tels parachutes ? Certes, nous sommes libéraux en économie c’est pourquoi nous souhaitons laisser au « patronat » une période probatoire leur permettant de mettre en adéquation leurs intentions et la réalité. Dans le cas contraire l’état devra, hélas une fois de plus, légiférer pour imposer ses règles à un petit monde où copains peut parfois rimer avec coquins ». Conclut Annick du ROSCOÄT