Depuis une semaine, la France voit une partie de son économie amputée par l’action de syndicats irresponsables qui bloquent les raffineries, les trains, les métros et les avions. De moins en moins suivis, les syndicats professionnels ont fait appel au soutien des lycéens et des étudiants pour grossir des cortèges dont la presse dénonce chaque jour la supercherie des chiffres.
« En ce temps de crise, les entreprises sont notre seul ressource pour sauvegarder l’emploi et assurer la relance de l’économie. Il n’est pas concevable qu’une minorité enraye l’activité de notre pays et prenne les Français en otage » estime Gilles Bourdouleix, député-maire de Cholet et président du CNI.
« Le CNI veillera à ce que le gouvernement ne cède pas aux pressions alors que la mobilisation décroît et que les syndicats sont chaque jour décrédibilisés quant à la réalité de leur action. Les partenaires sociaux ont été écoutés et certaines avancées ont été obtenues, notamment pour la pénibilité et les mères de familles nombreuses. Les grèves doivent cesser avant que la France ne bascule dans l’aventure » conclut-il.