« En refusant la reconstitution de l’odieux assassinat du préfet Erignac, les pouvoirs publics ont fait un cadeau inespéré aux séparatistes corses en faisant de Colonna une victime de la justice d’Etat » déclare Annick du Roscoät, Présidente du CNI.
« Les séparatistes en jouant sur une émotion légitime, ont lancé la logique infernale de la répression sur laquelle ils espèrent prospérer » ajoute-t-elle.
« Il faut que le gouvernement dessine une politique claire quant à la Corse. Il doit cesser de laisser les forces de l’ordre sans consigne claire, au service d’une politique définie en vue de l’intérêt des corses, sans complaisance pour les séparatistes » conclut-elle.