« Les milieux souverainistes, en faisant courir la rumeur selon laquelle le CNI agirait sur ordre et avec le financement de l’UMP, nous font injure.
Le CNI est indépendant et n’a besoin de personne pour prendre ses responsabilités » déclare la Présidence du CNI, Annick du Roscoät.
« Quant au procédé anti-démocratique de la carotte et du bâton qui consiste à tenter de débaucher ou à menacer les personnes qui figurent sur nos listes, il est scandaleux » ajoute-elle.
« Je répondrai par le mépris et par le silence le plus profond sur la composition de nos listes. Je me contenterai de dire que les deux premières sont « bouclées », les trois suivantes étant en passe de l’être » conclut-elle.