A la veille d’une journée d’inaction nationale dans les secteurs publics, le CNI dénonce la méthode employée par les syndicats. Une nouvelle fois, les syndicats font preuve de sectarisme.
« Institués pour défendre les intérêts des salariés, les syndicats français sont devenus, aujourd’hui, les premiers opposants à la liberté du travail. En bloquant le pays et à l’heure où la France est touchée de plein fouet par la crise économique, sans précédent, ils vont mettre en péril de nombreux emplois et notamment au sein des petites entreprises, souvent plus fragiles » déclare le Porte-Parole du CNI et Député-Maire de Cholet, Gilles Bourdouleix.
« La réponse à la crise n’est pas de secouer davantage notre économie, nos entreprises, mais au contraire d’adopter une attitude responsable face à son ampleur » ajoute-il.
« Cependant, le Gouvernement doit prendre conscience de la perte de confiance qui s’instaure chez les Français. Il doit les rassurer en adoptant une politique qui soit centrée sur les préoccupations des français et non pas en se dispersant et en faisant voter des textes éloignés de leurs inquiétudes quotidiennes.
Le gouvernement doit aujourd’hui apporter des réponses concrètes au défi de la crise économique, seule question essentielle aux yeux de tous » conclut-il.