Le CNI dénonce l’attitude déplorable de l’ex-Secrétaire Général du Parti Socialiste, François Hollande suite à ses récentes déclarations sur les « riches », dont il fait partie.
« Depuis 2007, François Hollande n’aime pas les « riches » et cela se confirme aujourd’hui. Son hostilité et dénigrement systématique à l’encontre d’une certaine catégorie de personnes devient son fond de commerce » déclare la Présidente du CNI, Annick du Roscoät.
« Le Parti Socialiste ne cherche qu’à maintenir les classes dites « défavorisées » dans un état d’aliénation par l’assistanat. Par contre, son silence est assourdissant quant aux privilèges et coûts du secteur étatique entretenu à grand frais par les contribuables dits « riches ». Les élus de gauche n’ont-ils pas voté une hausse importante de leur indemnité de fonction tels que les conseillers généraux de la Loire-Atlantique ou encore les élus municipaux de Gonesse lors de leur élection ? » ajoute-elle.
« Augmenter les impôts des ménages les plus favorisés sera une mesure inefficace, car l’argent que les contribuables dits « riches » céderont à l’Etat ne sera pas investi dans le secteur privé. Le manque de croissance est le problème fondamental de notre économie » poursuit-elle.
Le CNI souhaite que François Hollande s’interroge, avant de s’engager sur l’augmentation des impôts, sur la persistance des avantages acquis et des régimes spéciaux. « Au nom du principe d’égalité, osons faire tomber les avantages acquis et différents régimes, c’est ce que nous demandons. François Hollande se situe davantage dans « faites ce que je dis et non pas ce que je fais » » conclut-elle.