22, la présidentielle

Gilles Bourdouleix – avril 2012

Le nombre fatidique des cinq cents parrainages n’a pas été atteint. Bien évidemment je n’ai pas pu être candidat pour le CNIP à l’élection présidentielle. Ce fut d’autant plus difficile de glaner ces précieuses signatures que notre mouvement, en reconstruction, reste trop faible au plan militant pour envoyer des ambassadeurs auprès des élus et que la presse choisit les candidats qu’elle entend promouvoir.

Cette courte aventure me laisse un double sentiment : satisfaction et regret.

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« Dès lundi, j’adresserai un courrier aux candidats du centre et de la droite républicaine pour connaître leurs engagements vis-à-vis des valeurs que le C.N.I.P. défend »

« Le Centre National des Indépendants et Paysans (C.N.I.P.) réuni ce jour en Comité Directeur a décidé de prendre attache avec chacun des candidats à l’élection présidentielle, candidats du centre et de la droite républicaine, afin de connaître leur position et leurs engagements relatifs aux valeurs chères au C.N.I.P. En savoir plus

« Parrainages de Marine LE PEN : une mauvaise pièce de théâtre bien rodée»

« Depuis des semaines, Marine LE PEN a manipulé l’opinion, clamant à corps et à cri qu’elle ne disposerait pas des 500 signatures, que des pressions étaient exercées auprès des maires afin qu’ils ne signent pas en sa faveur.
Ce mauvais vaudeville ressemble étrangement aux méthodes utilisées par son père depuis des années à chaque élection présidentielle.
En relayant ces informations fallacieuses, les médias se sont rendus complices d’une manipulation démocratique qui n’est pas digne de notre République.
Par ailleurs, je réaffirme que je ne peux nullement cautionner les valeurs et les idées véhiculées par les dirigeants du Front National.»

« Le C.N.I.P. réaffirme son soutien à Gilles Bourdouleix après les attaques ad nominem proférées par F. de Chanterac »

« Dans un article paru dans le quotidien Ouest France le 20 février 2012, François de Chanterac annonce sa démission du Centre National des Indépendants et Paysans dont je suis le Secrétaire Général.
Cette démission parait pour le moins étonnante de la part de M. de Chanterac qui avait candidaté à la présidence de la fédération de Loire-Atlantique du C.N.I.P. pour remplacer Mme du Roscaët, et ce dans un contexte politique qui n’a pas changé depuis. En savoir plus