« Je suis favorable au maintien d’une administration et de politiques spécifiques pour les Français rapatriés en métropole après la guerre d’Algérie, y compris les Harkis », déclare Gilles Bourdouleix, député-maire de Cholet et Président du CNIP.
« Contrairement aux engagements de François HOLLANDE, lors de sa campagne à l’élection présidentielle, de réformer la Mission interministérielle aux rapatriés, le gouvernement a supprimé l’Agence Nationale pour l’Indemnisation des Français d’Outre-Mer (Anifom) faisant ainsi disparaître la référence aux rapatriés français d’outre-mer de toute dénomination ministérielle ou administrative », indique-t-il.
« Pour les rapatriés, cette disparition est très mal ressentie car cela revient pour eux à entrer dans l’oubli. Ils attendent soutien et reconnaissance de la part de l’État. C’est notamment la raison pour laquelle, j’ai soutenu cette proposition de résolution. », conclut le député-maire de Cholet et Président du CNIP, Gilles Bourdouleix.