Le Centre National des Indépendants et Paysans (CNIP), parti d’opposition de sensibilité libérale-conservatrice fondé en 1949, est présent dans de nombreuses communes à l’occasion des élections municipales.
Plusieurs membres de son bureau politique sont têtes de listes : son président Gilles Bourdouleix à Cholet (49), son vice-président Philippe Most à Royan (17), son secrétaire général adjoint Hervé Lucbereilh à Oloron (64) et Hubert Fayard à Coudoux (13). Le CNIP pense également conserver les villes de Bussy-Saint-Georges et Saint-Thibaut-des-Vignes en Seine-et-Marne et présente des listes autonomes notamment à Saint-Tropez (83), dans le 7e arrondissement de Paris ou encore à Crécy-la-Chapelle (77).
Plusieurs membres de son bureau politique sont têtes de listes : son président Gilles Bourdouleix à Cholet (49), son vice-président Philippe Most à Royan (17), son secrétaire général adjoint Hervé Lucbereilh à Oloron (64) et Hubert Fayard à Coudoux (13). Le CNIP pense également conserver les villes de Bussy-Saint-Georges et Saint-Thibaut-des-Vignes en Seine-et-Marne et présente des listes autonomes notamment à Saint-Tropez (83), dans le 7e arrondissement de Paris ou encore à Crécy-la-Chapelle (77).
Des accords ont pu être passés dans des grandes métropoles régionales avec l’UMP comme à Lille, Nice et Rouen. De nombreuses listes arborent son sigle dans des départements aussi divers que les Alpes-Maritimes, la Drôme, la Seine-Maritime, les Hauts-de-Seine ou la Seine-Saint-Denis.
« Avec ce dispositif, le CNIP conservera plusieurs dizaines d’élus municipaux indépendants en milieu urbain », se félicite le secrétaire général du parti, Bruno North.