« En saccageant la sous-préfecture de Compiègne, les ouvriers CGT de Continental se sont mis hors la loi et ils doivent être traités comme tels » déclare la présidente du CNI, Annick du Roscoät.
« La compréhension et la compassion que l’on éprouve devant les difficultés liées à la crise, s’effacent devant ces comportements inadmissibles. Quel exemple donnons-nous à notre jeunesse ? Comment lui demander des attitudes responsables alors que les aînés se déchaînent au mépris de la loi et de la liberté » ajoute-t-elle.
« Le Président de la République est redevable de la sécurité de ses serviteurs. Nous demandons que la CGT paye les réparations des dégâts occasionnés. Il serait inadmissible qu’en plus d’être victimes de ces exactions, les français se voient mettre les réparations à leur charge » conclut la Présidente du CNI.