L’accord survenu à Bruxelles sur le taux de TVA réduit, sera une bonne nouvelle pour la restauration si ce taux est significatif. Le seuil minimum européen étant en principe de 15 %, c’est bien sûr le taux le plus bas possible qu’il faut appliquer. Dans la période de crise que nous vivons seul le taux de 5,5 % permettrait non seulement de préserver l’emploi et même d’en créer.
« Le CNI a toujours été sur le devant de la scène pour défendre le petit commerce. Aujourd’hui, avec les restaurateurs nous demandons au Gouvernement de ne pas jouer les demi-mesures et d’être pragmatique », déclare Annick du ROSCOÄT, Présidente du CNI. « La France doit une partie de sa renommée à sa cuisine, nous sommes le pays touristique le plus visité au monde. Il est des places fortes qu’il faut savoir défendre car elles peuvent servir à d’autres reconquêtes », conclut-elle.