« Le Grand Duc de Luxembourg fait preuve de courage et de dignité, je lui apporte mon entier soutien dans ce combat.
S’il est de notre devoir d’accompagner les malades en fin de vie avec les moyens dont dispose la médecine… anti-douleur, ce qui se nomme « soins palliatifs », il ne nous appartient pas de décider du jour et de l’heure de la mort d’autrui » déclare Annick du Roscoät.
« Il est effectivement très difficile à un proche d’être le témoin impuissant des souffrances d’un être aimé. Mais réfléchissons bien, l’euthanasie et un homicide volontaire, même s’il est paré des meilleures intentions.
Accepter de mettre le doigt dans l’engrenage au nom de la compassion, c’est accepter les dérives inévitables » conclut-elle.